duminică, 5 octombrie 2014

Le CBBD à Très Grande Vitesse

Victor Horta, l`architecte de Magasins Waucquez. Dessin par Frank Pé (invité d`honneur au Salon  Roumain de la BD en 1999).
"Selon Le Soir du 8 aout 2014, Le Musée belge de la bande dessinée arrive en septième position du top 10 des monuments qui font de Bruxelles une ville de citytrip en vogue: Dans ce magnifique bâtiment dessiné par Victor Horta sont réunies des milliers de planches de BD qui ont contribué au rayonnement de la Belgique. Le musée enregistre environ 200.000 visiteurs par an. Parmi les motifs des visiteurs venus dans la capitale pour se détendre, 34% ont choisi la destination pour son héritage culturel et 22% pour ses attractions. Ceux qui sont passionnés de culture sont attirés par l’Art nouveau (23%), la zone Unesco de la Grand-Place (20%) et les musées de manière générale (19%).

Le plus ancien et le plus grand musée BD d’Europe

Véritable temple dédié à la bande dessinée, le CBBD est aussi un chef d’oeuvre incontesté de l’Art Nouveau dessiné par Victor Horta. De l’ancien magasin de textiles qui occupa d’abord les lieux (1906-1970), le Centre Belge de la BD a notamment récupéré les grandes étagères de la bibliothèque et de la Librairie Slumberland.
Le CBBD a ouvert ses portes au public le 6 octobre 1989. En peu d’années, ce grand musée est devenu une des attractions principales de Bruxelles. Chaque année, plus de deux cents mille visiteurs choisissent de parcourir les expositions permanentes et temporaires qui s'y succèdent sur ses 4.200 m² de plateaux.
Etabli dans l’un des plus anciens quartiers de Bruxelles, à deux pas de l’Ilot Sacré, de la Grand-Place et du Quartier Royal, et classé en bonne place dans les meilleurs guides internationaux, le Centre Belge de la Bande Dessinée attire quelque 200.000 visiteurs par an, venus de tous les continents.
Si les expositions temporaires et permanentes contribuent à faire du CBBD un lieu vivant et un outil de référence au service de la promotion de la BD, c’est aussi un lieu de conservation et un centre de documentation unique au monde. Le CBBD produit également, pour de nombreux partenaires, des conférences, des ouvrages, des ateliers créatifs et leur sert de conseiller. Il entend poursuivre dans cette voie son développement international.


La qualité de l’accueil
Ouvert tous les jours de 10 à 18 heures (sauf lundi), le CBBD est accessible, sans réservation préalable, aux visiteurs individuels comme aux groupes les plus importants.

Langues parlées, langues écrites
Toutes les informations comprises dans le CBBD sont trilingues. Des livrets explicatifs en allemand, espagnol, italien, portugais et chinois sont mis gracieusement à la disposition des visiteurs étrangers qui le souhaitent, au bureau d’accueil. Ces supports sont téléchargeables (PDF) sur le site du CBBD. Des visites guidées sont proposées en 8 langues.

Connexion wifi gratuite
Soucieux du confort de ses visiteurs, depuis 6 ans, le CBBD offre une connexion wifi gratuite dans l’ensemble de ses espaces.

La santé des visiteurs et le défibrillateur
Par respect pour ses deux cent mille visiteurs, le CBBD s’est équipé depuis 2009 d’un défibrillateur portatif. Le CBBD était le premier musée à s’équiper d’un tel appareil qui peut s’avérer vital. En outre, l’ensemble du personnel en contact avec le public est progressivement formé à prodiguer les premiers soins.

Combien de visiteurs ?
Pendant sa première année complète d’existence (1990), le CBBD avait accueilli 150.000 visiteurs, belges à plus de 75%. La fréquentation augmenta sensiblement d’année en année pour, en 1996 (année des 100 ans de la BD et de l’important programme de promotion touristique élaboré avec l’OPT Wallonie-Bruxelles et Tourisme Vlaanderen), faire un bond à plus de 200.000 visiteurs. Depuis, après une baisse sensible et normale, la fréquentation du CBBD repasse la barre des 200.000 visiteurs, dès lors qu’on compte un pourcentage – fut-il faible – de visiteurs gratuits.
Visiteurs payants en 2013 : 198 511 visiteurs payants en 2013, soit 636 visiteurs/jour. Ces chiffres placent le Musée de la BD parmi les premiers rangs des musées et attractions visités à Bruxelles.
En 2013, plus de 80% des visiteurs étaient des étrangers :
1) France : 40,8%
2) Belgique : 17,5% - Flandre : 7,5% - Bruxelles : 5,9% - Wallonie : 4,0%
3) Allemagne : 5,1%
4) Espagne : 4,0%
5) Italie : 3,8%
6) Pays-Bas : 3,8%
7) Royaume-Uni : 3,5%
8) Chine : 3,3%

Au debut, dans le local actuel de CBBD c`était les  Magasins Waucquez. Dessin par F. Schuiten  (invité d`honneur au Salon Roumain de la BD en 1995).

Des expositions temporaires et permanentes
Le CBBD, ce sont cinq espaces d’expositions permanentes et, par an, quatre expositions majeures et sept expositions de type « Gallery ».
Les nouvelles expositions permanentes du CBBD, au niveau de l’accueil, introduisent le visiteur à la naissance, à la réalisation et aux mystères de la bande dessinée (« L’Invention de la BD »; 
« L’Art de la BD »).
A l’étage supérieur, « Horta et les magasins Waucquez » utilise photos et création BD pour raconter Horta, l’Art Nouveau et l’histoire du lieu.
Enfin, de part et d’autre de ce qui fut pendant 20 ans l’ancien Musée de l’Imaginaire, l’Espace Hergé et le nouvel Espace Peyo permettent aux visiteurs du monde entier de mieux percevoir l’importance des créateurs belges (et bruxellois) dans leur propre imaginaire…
Depuis 1989, plus de 180 expositions temporaires ont été présentées dans les différents espaces du CBBD. Le CBBD conçoit son programme d’expositions temporaires en équilibrant la mise en valeur du patrimoine et la création plus actuelle. Les grandes expos thématiques (ex. : "Bruxelles, ma bulle") permettent de valoriser différents courants de différentes générations, belges ou étrangères. Pour la scénarisation de ces expositions, le CBBD fait régulièrement appel à des conseils, commissaires et autres spécialistes extérieurs susceptibles de venir en appui de son équipe de base. Chacune des quatre grandes expos annuelles du CBBD dure 5 mois et demi environ.
A un autre étage, depuis 7 ans, la Gallery propose des expositions liées à l’actualité de la bande dessinée. Au rythme de 7 par an, le CBBD y valorise une oeuvre qui fait l’actualité, un accent particulier étant mis sur la création contemporaine. Les expositions ont une durée d’un ou deux mois.

Un centre de documentation unique au monde
Au centre d’un futur réseau européen qu’il appelle de ses voeux, la bibliothèque du CBBD est sans doute la plus importante bédéthèque du continent. Le développement du marché de la BD l’a poussée à se spécialiser progressivement dans la BD d’origine francophone ou néerlandophone. Ce centre de documentation comprend plus de 100.000 références (60 000 albums, 38 000 magazines, 4.000 ouvrages théoriques) une salle de lecture tous publics, une bibliothèque d’étude, des oeuvres en 40 langues, un catalogue accessible en ligne…
Dernière acquisition importante : la collection complète des Héroïc-Albums dans laquelle nombre de grands auteurs belges ont entamé leur carrière après-guerre (1945-1956). Cette collection de quelque 400 numéros est celle du créateur de la revue, Fernand Cheneval. La collection sera accessible après numérisation et inscription au catalogue de tous les récits qui la compose.

La conservation des originaux et des oeuvres publiées
Le crédit du CBBD auprès des professionnels de la bande dessinée – auteurs, ayants droits, éditeurs, collectionneurs, etc.- et des institutions muséales belges et étrangères avec lesquelles il est en contact régulier, passe notamment par la manière dont les objets passant par lui ou conservés par lui sont traités. Dans ce domaine comme dans d’autres, le CBBD entend donc être exemplaire.

La conservation des originaux
Le CBBD accueille un nombre important de documents originaux de valeur, à savoir plus de 8.000 planches et illustrations, dont il garantit la conservation dans les meilleures conditions. Seule une partie largement minoritaire lui appartient, l’essentiel a été et est l’objet de prêt/dépôts à long terme selon des accords passés entre le CBBD et les créateurs, leurs ayant droits ou des organismes propriétaires.
A température et taux d’humidité constants, les salles de conservation du CBBD et leurs espaces de rangement sont sécurisés et accessibles à un nombre limité de personnes. Les manipulations, réduites au minimum, sont assurées par des professionnels.
Le personnel du CBBD en charge de la conservation se perfectionne régulièrement à l’occasion de séminaires, de visites et de formations choisies.

La numérisation des documents et la banque d’oeuvres numérisées
Depuis 2009, chaque original passant par le CBBD est scanné dans une définition susceptible d’assurer sa reproduction et de nombreuses utilisations. Cette banque d’oeuvres numérisées a plusieurs objectifs :
• Garantir la qualité de reproduction en cas d’accident sur l’original
• Accompagner les contrats d’assurance et de prêt
• Autoriser la présentation détaillée de l’oeuvre dans une exposition virtuelle
• Constituer une image « de réserve » si, à terme, l’original devient inaccessible à l’auteur ou à l’ayant-droit (vente sans trace, de l’original, par ex.).
Ce service a été mis à la disposition des auteurs eux-mêmes qui, moyennant une participation aux frais symbolique, peuvent faire numériser leurs travaux rapidement.

Collective-Access
Pour permettre un traitement efficace de la banque d’oeuvres numérisées, le CBBD s’est doté d’un logiciel open-source, Collective-Access, largement utilisé dans les institutions muséales modernes. Ce classeur de conservation consultable sur serveur permet de procéder aux travaux suivants :
• Assurer la réception de l’objet (prêteur, description, échéances, assurances, etc.)
• Produire un rédactionnel en relation (auteurs, notices, légende technique, etc.)
• Suivre les mouvements de l’objet physique (expositions, dates, lieux, etc.)
• Réaliser une présentation de l’objet numérisé (disponibilité, restrictions à l’exposition virtuelle, etc.).
Tous les objets physiques compris dans les collections d’originaux du CBBD sont traités de cette manière, que leur dépôt au CBBD soit temporaire ou permanent. A ceux-ci viendront s’ajouter les reproductions d’égale qualité numérisées par nos soins pour des clients extérieurs et dont les ayants droit auront souhaités que leurs oeuvres soient reprises dans cette banque d’oeuvres numérisées unique au monde.

La Conservation des oeuvres publiées
En 25 ans, le CBBD a accueilli dans ses collections de nombreux albums devenus des pièces de collection au fil du temps (1ère édition de Largo Winch, XIII ou Titeuf, par ex.). L’est à partir de cette réflexion que le CBBD s’est résolu à ouvrir un espace réservé aux plus anciennes publications de ses collections. A côté des nouveautés fournies gracieusement par les éditeurs et des ouvrages neufs acquis par le CBBD… et qui entreront peut-être un jour au conservatoire, celui-ci est aussi alimenté par des dons privés et par l’achat de collections entrant dans les objectifs du CBBD.

Un outil pédagogique pour la BD
Depuis de nombreuses années, le CBBD n’a pas cessé de développer des activités à vocation pédagogique, dans et hors de ses murs : ateliers d’initiation (tous les samedis de l’année + stages vacances), animations scolaires, journées et dossiers pédagogiques, conférences, expos dans les écoles, la valise des enfants, questionnaires pour team building, etc.
Plusieurs dossiers pédagogiques et questionnaires ludiques sont téléchargeables librement sur le site du CBBD.
Quelques chiffres sur les activités pédagogiques en 2013 :
• 24 élèves à l’atelier BD du samedi
• 96 élèves aux stages BD des vacances scolaires
• 1166 visites guidées, dont 814 pour des groupes scolaires
• 8232 élèves de primaire en visite scolaire (ca. 410 classes)(6/12 ans)
• 16676 élèves de secondaire en visite scolaire (ca. 830 classes)(12/18 ans)
Depuis 22 ans, animés par des auteurs de BD professionnels, les ateliers du CBBD ont déjà accueilli plus de 2.500 élèves et stagiaires. Un tiers d’entre eux environ font le choix d’une école de dessin (St-Luc, La Cambre, l’E.R.G.) après être passés par l’Atelier. Fierté de celui-ci : une vingtaine d’élèves ont signé par la suite des contrats professionnels dont Fred Genêt (série « Samurai », éditions Soleil) et Gaël de Meyere (série « Cyclope », Casterman)
.
Un rôle d’ambassadeur
Le CBBD mène des projets importants pour les Communautés et Régions belges. Pour les pouvoirs publics, comme pour les Représentations à l’étranger (fédérales, communautaires, régionales), le CBBD fabrique et monte des expositions, gère des projets, sert d’interface, donne des conférences et anime des tables rondes.
Grâce à ces partenariats publics, le CBBD offre des soutiens promotionnels et médiatiques à de nombreux auteurs de BD, en Belgique et plus encore à l’étranger.

Des expositions autour du monde
Sur tous les continents, les expositions itinérantes produites par WBI (Wallonie-Bruxelles International) et/ou adaptées des productions du CBBD véhiculent l’image de la BD belge et européenne, notamment « Bulles, Jazz, Blues », « Filatures et Phylactères », « Les Européens regardent les Européens », « L’union fait la schtroumpf », « Spirou héros 5 étoiles », etc. ou encore l’exposition-phare du FIBD Angoulême 2009, « Ceci n’est pas la BD flamande » (Fonds des Lettres de la Communauté flamande).

Missions et contributions scientifiques
Hors de ses murs, le CBBD est régulièrement appelé à proposer des conférences sur ses activités, son fonctionnement mais également sur des sujets liés à la BD (La BD dans l’enseignement, L’invention de la BD, etc.). Il produit, à la demande, des réflexions ou analyses destinés à valoriser la création et le patrimoine BD, notamment dans des supports liés aux événements auxquels il est convié.
CBBD. Dessin par Dany (invité d`honneur au Salon  Roumain de la BD en 2007).

Le développement international

Depuis le début des années ’90, le CBBD exporte son savoir-faire via des partenariats qui donnent lieu à des expositions, des conférences, des stages d’initiation, des expertises, etc. Depuis 2009, il assure la gestion quotidienne d’un autre Musée à Bruxelles, le Musée Marc Sleen. C’est donc tout naturellement que le CBBD a décidé de structurer ces actions dans un nouveau département : le développement international.
Le CBBD met à la disposition des pouvoirs publics et des entreprises privées qui le souhaitent sa compétence et son expertise. Il peut notamment proposer les services suivants :
- L’expertise muséale : accueil des publics, gestion quotidienne, création et aménagements, conservation, mise en oeuvre d’un musée spécifique liant la BD à une autre discipline ;
- La conception et la réalisation d’exposition permanentes et temporaires ainsi que d’expositions virtuelles, en ligne ;
-  La création d’événements liés à la bande dessinée ;
- Catalogage physique et numérique : développement du logiciel, conventions, rédactionnels, etc.
-  La création et la gestion d’une bibliothèque clé sur porte ; 
- L’accès à son carnet d’adresse professionnel.
Dans ses projets de décentralisation, le CBBD n’a pas fixé de canevas préétabli. Il entend s’adapter aux besoins de terrain qu’il rencontrera mettant son expertise au service de ses nouveaux partenaires. Il mettra tout en oeuvre pour créer toutes proportions gardées à l’instar de l’effet Guggenheim, l’effet CBBD.
Pour le CBBD, il ‘agit prioritairement de : 
- Promouvoir l’image, le langage et les créateurs de bande dessinée ; 
- Encourager la création artistique et les échanges culturels ; 
- Apprendre au contact d’expériences différentes et complémentaires ;
- Contribuer au développement international de l’image culturelle de Bruxelles, du pays et de ses entités fédérées ; 
- Valoriser les différents secteurs d’activités du CBBD ; 
- Augmenter les sources de financement des travaux scientifiques et techniques du CBBD notamment via les économies d’échelle ;
- Développer sa notoriété, son crédit et son image ;
- Partager 25 ans d’une expérience unique.

Le CBBD sur internet
Au-delà de la communication traditionnelle, la présence du CBBD sur internet correspond à une volonté affichée de s’inscrire d’une manière active dans les réseaux qui lui permettront d’atteindre et de séduire de nouveaux publics, pour lui-même comme pour les disciplines qu’il défend et promeut : la bande dessinée, l’Art Nouveau et le mariage intime entre création et patrimoine. Il souhaite également être une courroie de transmission efficace pour valoriser les projets, idées et créations qu’il défend.

Le site web du CBBD
Il existe en quatre langues (français, néerlandais, anglais, allemand via les adresses www.cbbd.be, stripmuseum.be et comicscenter.net). Traitant de l’actualité du CBBD comme de l’ensemble de ses activités, il est constamment mis à jour et enrichi.
Il donne notamment un accès direct au catalogue de la bibliothèque.
Le site du CBBD a accueilli 211.733 visiteurs en 2013. Au niveau de l’origine des surfeurs, on compte 186 nationalités différentes.

Les réseaux sociaux
Présent sur Facebook depuis 2009, le CBBD entretient des pages unilingues en FR, NL et ENGL animées régulièrement par les membres de l’équipe du CBBD, y compris à travers des pages « Fan Facebook » autonomes en français, néerlandais et anglais gérées par des responsables différents. Les actualités du CBBD y sont valorisées et illustrées. En outre, Greg Shaw, bibliothécaire, y propose sa sélection personnelle dans l’actualité de l’édition. L’équipe du CBBD compte également des usagers professionnels (FR, NL, ENGL), renforçant encore l’impact de l’actualité du CBBD auprès de ses différents publics.

La newsletter
Elle existe en français et en néerlandais et reprend une sélection des événements les plus importants et est envoyée plusieurs fois par an aux amateurs du Centre qui souhaitent être tenus au courant de l’actualité.

L’interactivité
Répondant à un objectif d’interactivité avec nos visiteurs, le site du CBBD propose aux visiteurs de poster leurs images du CBBD en toute liberté et toute indépendance sur les sites sociaux les plus populaires (Picasa, Flickr, You Tube, Facebook).

Google Open Gallery

Retenu parmi les 20 premiers musées et galeries dans le monde pour lancer la nouvelle plateforme de création d’expositions virtuelles de Google (2013), le CBBD y propose de découvrir « Horta et les Magasins Waucquez » mêlant photos, documents et BD.

Google Street View
A partir de ce début octobre 2014, Google Maps offre la possibilité de découvrir l’intérieur du Musée belge de la Bande dessinée. Premier Musée belge à offrir cette visite virtuelle aux curieux et à ses futurs visiteurs, le CBBD met ainsi une fois de plus en avant le mariage réussi de l’Art Nouveau et du 9e Art.

Des comptes en équilibre
Les moyens financiers du CBBD proviennent essentiellement des visiteurs et de la centaine d'événements qui s'y déroulent chaque année (la part des pouvoirs publics n'est pas supérieure à 10%!).
En 2013, le total des recettes fut de 1 923 775 € dont la plus grande partie a été acquise grâce aux visiteurs (recettes d’entrées : 1.321.858 €), et ce, malgré des prix d’entrée demeurés volontairement modérés et fixes depuis 5 ans (adulte : 8,5/réduc. : 6/- 12 ans : 3,5).
L’apport des pouvoirs publics belges au financement du CBBD est le suivant :
Région de Bruxelles-Capitale : 120.000 € (sollicité chaque année – grands événements)
Fédération Wallonie-Bruxelles : 48.000 € (fixé par contrat-programme, tous les 4 ans)
Commission Communautaire flamande : 20.000 € (fixé par contrat-programme)
En outre, depuis 2006, le CBBD bénéficie d’une location gratuite pour les lieux qu’il occupe (propriétaire : Régie des Bâtiments de l’Etat… fédéral).
Les autres moyens financiers du CBBD sont des revenus propres, tirés de baux commerciaux (brasserie et librairie), de la mise en location de ses espaces pour des événements privés et de réalisations extérieures (gestion quotidienne du Musée Marc Sleen, réalisation d’expositions, recherche documentaire, etc.).

Une a.s.b.l. créatrice d’emplois
L’entreprise culturelle « Centre Belge de la Bande Dessinée » génère 29 contrats d’emploi pour 17 équivalents temps plein (hors Brasserie et Librairie). A ce nombre, il convient d’ajouter 4 équivalents temps plein par des travailleurs sous d’autres statuts.

Qui fait quoi ?
Directeur général Jean Auquier ja@cbbd.be
Directeur de la communication Willem De Graeve willem.degraeve@cbbd.be
Directeur adj. Resp pédagogique Tine Anthoni tine.anthoni@cbbd.be
Commissaire aux expositions JC De la Royère jcdlr@cbbd.be
Scénographe des expositions Jean Serneels js@cbbd.be
Responsable multimédia Manuel Fernandez m@cbbd.be
Relations avec la presse francophone Valérie Constant v.constant@aproposrp.com
Webmaster Marie-Aude Piavaux mao@cbbd.be
Conservation Nathalie Geiranert nathalie.geirnaert@cbbd.be
Bibliothèque (logiciel, éditeurs…) Aurore Grégoire aurore.gregoire@cbbd.be
Bibliothèque (conservatoire, etc.) Grégory Shaw g.shaw@cbbd.be
Responsable de la sécurité Rachid Naouli rachid.naouli@cbbd.be"

Niciun comentariu: